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Pierre-Luc Leclerc, l’ancien attaché politique du député de Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques, Maxime Blanchette-Joncas, est toujours derrière les barreaux puisque son enquête sur remise en liberté initialement prévue le 23 septembre a été reportée au 24, puis au 27 septembre, et finalement au 7 octobre au palais de justice de Rimouski.  

Leclerc fait face à des accusations de harcèlement criminel et de non-respect de ses conditions. Il est représenté par Me Maryse Beaulieu.

L’homme de 38 ans a été arrêté pour une première fois le 17 juin dernier relativement des événements qui se seraient déroulés entre le 26 novembre 2022 et le 16 juin 2024 et qui ont entraîné le dépôt d’accusation de harcèlement criminel.

Des conditions de remise en liberté lui avaient alors été imposées. Il a été arrêté une deuxième fois le 13 septembre dernier.

Il est accusé de ne pas avoir respecté ses conditions et d’avoir commis du harcèlement criminel entre le 3 et le 12 septembre 2024.

Suspendu de ses fonctions

À noter que les accusations ne sont pas en lien avec son travail d’attaché politique. Le bureau du député a fait savoir que l’accusé était suspendu de ses fonctions et que le député n’était pas au courant des accusations avant son dévoilement au grand public.