Le président de la Table régionale des élus.es municipaux du Bas-St-Laurent digère très mal le refus du gouvernement du Québec de permettre l’imposition d’une taxe de 2 cents sur le litre de carburant pour financer le transport collectif.
Bruno Paradis affirme que les acteurs politiques de la région se sentent insultés et frustrés par cette décision. M. Paradis avait pourtant bon espoir d’obtenir gain de cause à la suite d’une rencontre avec le ministre des Finances au printemps. Bruno Paradis répète que la proposition d’Éric Girard d’imposer une taxe sur l’immatriculation est beaucoup plus onéreuse qu’une hausse de la taxe sur le litre d’essence.
Bruno Paradis
Dans ce contexte, M. Paradis s’attend à une diminution des services de transport collectif.
Bruno Paradis