La Société québécoise des infrastructures essuie un 2e revers relativement à l’octroi d’un contrat pour la réfection du palais de justice de Rimouski.

La Cour d’appel confirme le jugement rendu par la Cour Supérieure concernant un contrat alloué à Construction B. M. L. Le tribunal indique que l’entreprise n’aurait pas dû avoir ce contrat puisqu’elle ne détenait pas les licences nécessaires pour accomplir les travaux en question. Il mentionne qu’Action Progex, 2e plus bas soumissionnaire, aurait dû réaliser les travaux en question.

L'entrepreneur poursuivait la SQI et Construction B.M.L. en dommages-intérêts pour la somme de 250 000 $. Il évaluait les pertes engendrées en n’obtenant pas ce contrat.