Lise Beaulieu, directrice d'Équijustice de l'Est, Mélissa Desjardins, directrice de la Protection de la jeunesse et Julie Ouellet, directrice-adjointe de la DPJ. Photo-Flo 96,5
Le nombre de signalements à la Direction de la protection de la jeunesse a augmenté de 13,5% au Bas-St-Laurent l’année dernière par rapport à l’exercice antérieur.
La direction de la DPJ a présenté mardi matin son bilan annuel. La directrice générale, Mélissa Desjardins, croit cependant qu’il faut relativiser ces chiffres puisque la région avait connu une situation inverse l’année antérieure.
Mélissa Desjardins-directrice de la Direction de la protection de la jeunesse
La DPJ a retenu près de 28% des signalements reçus. Près du tiers de ceux-ci provient de différents organismes, 22,5% du milieu scolaire et 21,5% des policiers. 1 enfant sur 2 est suivi dans son milieu.
Les principaux motifs demeurent toujours les mêmes, soit la négligence ou le risque sérieux de négligence, les abus physiques ou le risque sérieux d’abus physiques ainsi que les mauvais traitements psychologiques.
Par ailleurs, un projet-pilote de justice réparatrice a été mis en place, il y a quelques années, afin d’éviter le plus possible le recours aux tribunaux. Lise Beaulieu est directrice générale d’Équijustice de l’Est.
Lise Beaulieu-Directrice Équijustice de l'Est
Le taux de réussite se situe à 96%.