Sainte-Luce essuie un refus auprès de la Commission de protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ).

La municipalité voulait exproprier les propriétaires d’un terrain agricole afin d’exploiter les ressources d’eau potable qui s’y trouvent. La mairesse, Micheline Barriault, estime que le projet de captation d'eau potable à partir de l’ancienne pisciculture est d'une importance cruciale pour la municipalité pour assurer ses projets de développement.

Micheline Barriault
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Elle croit que la municipalité pourrait manquer d’eau dès l’an prochain. Madame Barriault affirme que depuis plus de vingt ans, l’endroit a été identifié comme la source principale pour assurer un approvisionnement en eau fiable et de qualité potable. Micheline Barriault soutient qu’en juillet, les experts en eau – les firmes Terre-eau et Akifer – ont unanimement souligné la nécessité impérieuse de ce projet pour garantir l'approvisionnement en eau, citant notamment les impacts limités sur l’agriculture.

Deux options s’offrent à Sainte-Luce pour aller en appel, soit de demande de révision à la CPTA ou au Tribunal administratif du Québec.

Extrait de 41 sec.